mardi 17 août 2010

Soleil de vie


Soleil de vie se fait brûlant
Dans l'air palpite des ondes folles
Sur la peau se fait rayonnant
Pénètre en mon cœur et l'affole
Le soleil source de la vie
Se fait source d'émotions intenses
Et je sens vibrer l'énergie
Comme des vibrations de démence

Un soleil qu'on voudrait toucher
Dessiner du bout de ses lèvres
Pouvoir le sentir palpiter
Se couvrir d'une couche de fièvre
Se tendre et s'offrir tout entier
Comme un hommage à son essence
Le soleil devient le premier
Des troubles qui percutent nos sens

Descendant vers les monts exquis
Sur lequel le soleil se couche
La bouche qui tremble et qui frémis
Alors que doucement elle touche
Les sources exquises de la vie
D'où s'écoule le nectar divin
Qui comme l'absinthe offre folie
De l'esprit comble les recoins

S'abreuver à ce doux nectar
Sous la bienveillance du soleil
Eclairant la noirceur du soir
Et faisant voir mille merveilles
Pénétrer dans cette moiteur
Comme on ferait d'un sanctuaire
Et y rendre tous les honneurs
Qu'un simple mortel peut lui faire

Baignant de la lumière divine
Que le soleil offre au pécheur
Epris par des envies câlines
Partageant cette douce chaleur
Soleil de vie se fait caresse
Contre la peau venue frotter
Et dans un moment de faiblesse
D'une étreinte faite pour exploser

lundi 16 août 2010

Une femme s'offre



Tant de volupté, de féminité
Une pincée de rire une dose de sourire
Des mains bien placées, pour ne rien cacher
Un corps se désire et se laisse offrir

De belles tenues sur une inconnue
Vouloir dévoiler, la déshabiller
Mettre le corps à nu avec retenue
De gestes appuyés, chercher à guider

De la lingerie, un corps plein de vie
Chercher à pouvoir encore plus en voir
Et quand de l'esprit s'incarne la folie
Prêt à s'émouvoir pour un doux regard

Un corps délicieux doux et harmonieux
Offert aux délices, la courbe d'une cuisse
Regard malicieux se fait astucieux
Et l'œil qui s'immisce aussi loin qu'il puisse

Plonger en douceur, dans cette chaleur
Un corps palpitant qui devient brûlant
Me laisse rêveur d'avoir le bonheur
D'y prendre mon temps d'en jouir vraiment

Femme très inspirée, dont j'ai pu rêver
Que ma bouche tremblante se faisait vibrante
Ses lèvres mouillées je les pénétrais
D'une langue envoutante et peu hésitante

Voulant y cueillir une dose de plaisir
Faire vibrer un corps avec tant d'efforts
Puis venir offrir les vagues du désir
Résonnantes trop fort brillantes comme de l'or

Ces palpitations vivent de l'émotion
D'une découverte, ou bien d'une perte
Lorsque la passion fait la donation
Qu'une langue experte laisse la porte ouverte

Le corps tout entier qui vient à vibrer
Se laissant un peu comme à petit feu
Sous l'assaut acier d'un homme emporté
Profiter des jeux des plaisirs à deux

Pris de tremblements dans le doux moment
Poussées de soupirs, montée du plaisir
Deux âmes s'envolant vers le firmament
Simplement jouir plutôt qu'en mourir