mardi 17 août 2010
Soleil de vie
Soleil de vie se fait brûlant
Dans l'air palpite des ondes folles
Sur la peau se fait rayonnant
Pénètre en mon cœur et l'affole
Le soleil source de la vie
Se fait source d'émotions intenses
Et je sens vibrer l'énergie
Comme des vibrations de démence
Un soleil qu'on voudrait toucher
Dessiner du bout de ses lèvres
Pouvoir le sentir palpiter
Se couvrir d'une couche de fièvre
Se tendre et s'offrir tout entier
Comme un hommage à son essence
Le soleil devient le premier
Des troubles qui percutent nos sens
Descendant vers les monts exquis
Sur lequel le soleil se couche
La bouche qui tremble et qui frémis
Alors que doucement elle touche
Les sources exquises de la vie
D'où s'écoule le nectar divin
Qui comme l'absinthe offre folie
De l'esprit comble les recoins
S'abreuver à ce doux nectar
Sous la bienveillance du soleil
Eclairant la noirceur du soir
Et faisant voir mille merveilles
Pénétrer dans cette moiteur
Comme on ferait d'un sanctuaire
Et y rendre tous les honneurs
Qu'un simple mortel peut lui faire
Baignant de la lumière divine
Que le soleil offre au pécheur
Epris par des envies câlines
Partageant cette douce chaleur
Soleil de vie se fait caresse
Contre la peau venue frotter
Et dans un moment de faiblesse
D'une étreinte faite pour exploser
lundi 16 août 2010
Une femme s'offre
Tant de volupté, de féminité
Une pincée de rire une dose de sourire
Des mains bien placées, pour ne rien cacher
Un corps se désire et se laisse offrir
De belles tenues sur une inconnue
Vouloir dévoiler, la déshabiller
Mettre le corps à nu avec retenue
De gestes appuyés, chercher à guider
De la lingerie, un corps plein de vie
Chercher à pouvoir encore plus en voir
Et quand de l'esprit s'incarne la folie
Prêt à s'émouvoir pour un doux regard
Un corps délicieux doux et harmonieux
Offert aux délices, la courbe d'une cuisse
Regard malicieux se fait astucieux
Et l'œil qui s'immisce aussi loin qu'il puisse
Plonger en douceur, dans cette chaleur
Un corps palpitant qui devient brûlant
Me laisse rêveur d'avoir le bonheur
D'y prendre mon temps d'en jouir vraiment
Femme très inspirée, dont j'ai pu rêver
Que ma bouche tremblante se faisait vibrante
Ses lèvres mouillées je les pénétrais
D'une langue envoutante et peu hésitante
Voulant y cueillir une dose de plaisir
Faire vibrer un corps avec tant d'efforts
Puis venir offrir les vagues du désir
Résonnantes trop fort brillantes comme de l'or
Ces palpitations vivent de l'émotion
D'une découverte, ou bien d'une perte
Lorsque la passion fait la donation
Qu'une langue experte laisse la porte ouverte
Le corps tout entier qui vient à vibrer
Se laissant un peu comme à petit feu
Sous l'assaut acier d'un homme emporté
Profiter des jeux des plaisirs à deux
Pris de tremblements dans le doux moment
Poussées de soupirs, montée du plaisir
Deux âmes s'envolant vers le firmament
Simplement jouir plutôt qu'en mourir
jeudi 8 juillet 2010
Louve se love
Louve se love et se dévoile
Lentement déchire le voile
Louve invisible se tapit
Dans la chaleur de mes nuits
Louve installe son émotion
Electrique sont les frissons
Dans les poils qui se hérissent
Louve qui vibre et qui se glisse
Elle est craintive de l'humain
De l'homme cet être divin
Qui sait se montrer cruel
Et qui parfois la harcèle
Louve sait bien s'abandonner
Se donne avec volupté
Mais se reprend si jamais
Elle sent qu'arrive le danger
Louve de désir je m'éprends
Louve contre toi je m'étends
Louve aux babines retroussées
Louve aux oreilles dressées
Dans la chaleur de ma nuit
Quand mon esprit s'est enfui
C'est au milieu de la meute
Que je le sens qui rameute
Mes émotions et se drape
Louve alors vient et m'attrape
Je me laisserais bien mordre
Je me soumets à ses ordres
Louve me dirige d'un regard
D'un simple geste dans le noir
Louve m'offre son intimité
Pour que je puisse l'honorer
Lentement avec délice
Dans la moiteur de ses cuisses
Louve me fait voir des merveilles
Et tous les sens en éveil
Je lui apporte en retour
Avec la force de l'amour
Les plus douces des caresses
Louve se glisse avec tendresse
Et dans mes bras je retiens
Louve prisonnière au matin
Pour la couvrir de baisers
Elle ne pourra pas rester
Je te vois je te veux
Je te vois je te veux,
J'ai envie de t'aimer
Je ferais de mon mieux
Pour être à tes côtés
J'ai le désir profond
De pénétrer ton âme
Mais je sens au tréfonds
De mon être la flamme
Je voudrais en douceur
Que tu viennes t'assoir
Chevauchant mon ardeur
Et je voudrais pouvoir
Sentir cette chaleur
De ton corps tout entier
Enserrant ma tiédeur
Me faisant palpiter
Je veux entrer en toi
Comme entrer dans la transe
Avec au fond de moi
Cette flamme qui danse
Sentir que ton désir
Se fait perles luisantes
Et que notre plaisir
Est une force aveuglante
Je veux que tu me sentes
Au plus profond de toi
Que ta fente luisante
Se fonde autour de moi
Déesse de mes rêves
J'ai envie de ton corps
Si tu savais ma fièvre
Mon terrible trésor
Je suis plus palpitant
Que le magma terrestre
Je te désire vraiment
Je veux être la peste
Me répandre sur ta peau
Et couvrir tout ton être
Comme ces gouttes d'eau
Sécher et disparaitre
Je veux que mon odeur
Se mêlant à la tienne
Elixir d'une fleur
Dans laquelle je vienne
Cueillir avec plaisir
Et jouir d'harmonie
De tes violents soupirs
A tes délicieux cris
J'ai envie de t'aimer
Avec toute ma passion
Je veux te partager
Ces douces émotions
jeudi 20 mai 2010
Sous la douche
L'approchant lentement, la prenant dans mes bras
Je la guidais alors avec tendre douceur
Vers le lieu merveilleux où je pourrais je crois
Lui montrer qu'érotisme rime avec jeu du cœur
Dans la salle de bain, approchant de la douche
Lentement faire glisser sur sa peau veloutée
Le pyjama informe et de mes lèvres douces
Lui faire sentir alors sur sa peau frissonnée
L'envie de se laisser aller à l'abandon
Guidée sous l'eau chauffée je viendrais la masser
Faire mousser sur sa peau le délicieux savon
Et sentir sur son être une odeur parfumée
S'agenouiller alors et en la regardant
Venir frotter son corps avec félicité
Rincer le sanctuaire à l'eau abondamment
Et sentir l'émotion ses yeux un peu fermer
Alors très doucement prendre toute la mesure
De son corps merveilleux offert à l'émotion
Je lui ferais sentir l'envie de caresses sures
Et que dans l'air s'installe une forte tension
Ecarter en douceur les voiles de l'envie
D'une langueur infinie venir glisser l'émoi
Dans le berceau du temps le temple de la vie
D'une bouche assoiffée et du bout de ses doigts
Sentir ses doigts plonger dans mes cheveux mouillés
Alors que goulûment d'un traitement expert
Je viendrais me plonger dans son sexe fruité
Cherchant à lui donner l'avant goût de l'enfer
L'enfer et ses plaisirs qui ne sont que luxure
Qui sont plongées exquises dans les frissons du corps
Si proches de l'extase qu'on en deviendrait sur
Que c'est le paradis qui nous parcourt encore
Sentir que son émoi semble éclore en beauté
Luxuriante fontaine qui sous le jet de l'eau
Se mélange en nectar dont je viens à goûter
Et qui comble mes sens sans me faire défaut
La penchant en avant lui écartant les jambes
Sur son corps je viendrais pétrir sur cette peau
Les désirs impuissants de mon âme qui flambe
Et dont je sens en elle résonner les échos
Comme l'eau qui s'insinue dans les moindres endroits
Je voudrais être langue cherchant la vérité
Remplacée lentement par le bout de mes doigts
Fermement je prépare le lieu pour mon épée
Sous le jet de la douche accompli et tremblant
Devant la porte de chair je viendrais en douceur
Et avec mon bassin pénétrer tendrement
Lui arrachant j'espère des soupirs de chaleur
Sous la douche qui absous les péchés de nos vies
Sous l'eau qui vient laver le mal dont on se pare
Nous serions tous les deux aux combles de l'envie
Rayonnant d'une lumière comme peut le faire un phare
Et dans l'étreinte folle d'un moment de partage
Avec intensité perdu dans ses replis
Je voudrais être fou et cesser d'être sage
Cherchant comme l'animal le besoin assouvi
Le mont de venus
Une fente humide en marque l'endroit
Sur cette colline aux herbes bien rases
Bien que la nature y reprenne ses droits
L'entretien y est fait avec emphase
Ce lieu se découvre par un long chemin
Remontant le long de courbes assassines
On ne peut le faire qu'en s'aidant des mains
De peur de se perdre en douceurs câlines
Régal pour les yeux de le découvrir
Ce vallon soyeux aux parois rosées
On le nomme parfois grotte des plaisirs
Et ce nom ma foi il n'a point volé
Avec déférence quand on le contemple
On ne peut manquer d'y voir apparaitre
Les courbes mythiques d'un bien joli temple
Dont on est venu un jour à y naitre
De ce long voyage on sort assoiffé
La langue pendante et la bouche sèche
Fort heureusement on peut s'abreuver
Ecartant les pans d'une douceur de pèche
Au milieu du val coule un filet d'eau
Elixir de vie ou nectar des dieux
Il guérit les maux et quand on a chaud
Il offre à la bouche un liquide soyeux
Cette source humide peut être asséchée
Pour en libérer sa sublime essence
Il faut donc alors les parois grimper
Vers un lieu caché qui tourne les sens
Sous une excroissance entre les parois
On découvre alors la magie d'un point
Qui semble au toucher être comme à l'étroit
Et que l'on voudrait extraire avec soin
Du bout de ses doigts avec tempérance
Le faire glisser sur sa base ténue
Et par un miracle en notre présence
La source roucoule d'une eau inconnue
Tout en préservant le toucher si doux
On peut alors venir à s'épancher
Prenant sur sa langue le suave goût
De cette boisson qu'on vient à laper
Sur cette colline on peut découvrir
Des monts plus lointains aux pointes fragiles
Des vallées, des bosses un monde à venir
A explorer de balades tactiles
Si vous le pouvez sur ce mont magique
Cherchez donc pourquoi on le nomme ainsi
Car Venus pourrait d'une humeur épique
Vous récompenser de lui donner vie
Et si vous avez la chance infinie
De pouvoir glisser dans la fente étroite
Vous découvrirez le berceau de vie
Et y plongerez d'une grâce bien droite
Pour rendre un hommage à ce lieu précieux
Qu'on vient caresser en délicatesse
Que l'on prend plaisir à manger des yeux
C'est ainsi que l'aime la belle Déesse
Varia-son
Une robe lacet, la belle en est lassée
Il faudrait délacer, et suivre le lacet
Mais pourquoi délacer cette robe lacée
Si la belle se lasse il faut la délasser
La masser et laisser l'émotion s'élancer
Se laisser à danser délaisser les lacets
Des chemins enlacés, pour contre elle laisser
Son corps se prélasser et sur son cou dressé
Laisser perler baisers et caresses posées
Du bout des doigts chercher à ne jamais blesser
Le lacet se délace, et la belle qui est lasse
Se laisse délasser entre des mains sensées
C'est dans le goût salé des larmes esseulées
Que la belle a cessé de lutter et laissé
Le lacet lentement sur sa robe glisser
La laissant dénudée, et seulement drapée
D'une pudeur insensée de sensualité
Dans l'ombre elle s'est lancée à l'assaut sans essai
Tous ses sens sont froissés elle se sent effacée
Et dans les bras serrés de cet autre enlacé
Elle se laisse enflammer de douceurs prononcées
Le silence se fait, et elle vient se placer
Contre le corps élancé, dont le froid vient glacer
Les douces extrémités, qu'elle voudrait exciter
Laisser jaillir l'effet sur ses seins embrassés
De l'homme qui n'a cessé, de bien la caresser
Et alors qu'elle délaisse son esprit esseulé
Son corps laisse exploser des soupirs affolés
Délassée dans les bras finie d'être lassée
Elle se laisse entrainer, et sans même lutter
S'élance contre ce corps qu'elle s'allie sans cesser
De prendre en son essence le plaisir enlacée
jeudi 22 avril 2010
Vers sensuels
Pour ceux qui lisent ce blog, et qui ne sauraient pas, j'ai commencé une expérience, un concept, une nouvelle manière d'appréhender les mots, les vers et l'image.
Je n'illustre plus mes poèmes par des images prises à droite ou à gauche...
C'est aux lecteurs, participants de m'envoyer leurs clichés.
Bien entendu la photo doit leur appartenir, ensuite le jeu est que je m'inspire de la photo pour écrire un poème, que je mets en ligne illustré de la photo correspondante.
Vous pouvez vous rendre à l'adresse suivante si vous voulez voir ce concept en réel.
Vers sensuels
En espérant toujours que les lecteurs apprécient ce que j'écris...
Je n'illustre plus mes poèmes par des images prises à droite ou à gauche...
C'est aux lecteurs, participants de m'envoyer leurs clichés.
Bien entendu la photo doit leur appartenir, ensuite le jeu est que je m'inspire de la photo pour écrire un poème, que je mets en ligne illustré de la photo correspondante.
Vous pouvez vous rendre à l'adresse suivante si vous voulez voir ce concept en réel.
Vers sensuels
En espérant toujours que les lecteurs apprécient ce que j'écris...
mercredi 10 mars 2010
Telle une geisha
Rouge et gris telle une Geisha
Monochrome tout en nuance
Le satin reflet de soie
Sur un corps qui bouge et danse
Les effluves du parfum
Quand elle s'approche un peu trop
Canaliser le trop plein
Comme le lit emporte l'eau
Gris perle sur sa peau dorée
Eclat de rubis nacré
Femme joyau tout en beauté
Aux allures de femme rêvée
Le tissus tombe et dessine
Les courbes d'un corps féminin
Dont par instant on devine
L'exquisité de ses seins
De ses hanches rondes et si belles
Qu'on voudrait comme le tissu
Couvrir en ondes sensuelles
Entre ses doigts le corps nu
Laisser la belle nous surprendre
D'un mouvement audacieux
Tout contre elle venir s'étendre
Collé au bijou précieux
Femme jusqu'au bout de ses doigts
Femme fatale parée de rouge
Femme qui nous laisse pantois
Quand on voit son corps qui bouge
Femme que j'aime à regarder
Voyeur d'un monde si réel
Garder ma place, l'apprécier
De mes mots tisser pour elle
Des tenues plus riches encore
D'une fluidité sans pareille
Pour recouvrir ce trésor
Cette femme qui est ma merveille
L'assemblage de mes désirs
De mes folies de mes rêves
Mon âme que je viens pétrir
Pour lui insuffler sans trêve
lundi 8 mars 2010
Eclosion
Sur la peau nue, corps d'une femme
Quelques frissons viennent poser
Sur ce bouton dont on enflamme
Le pourtour de tendres baisers
Le faire éclore, et réagir
Ce doux bouton fleur si rosée
Des lèvres chaudes pleines de désir
De la langue qui vient le toucher
Subtilité, et émotion
Entourant le mont de l'envie
Quand se dresse ce petit téton
Qui sous la langue réagit
Venir sur la peau déposer
Quelques gouttes d'humidité
Alors que contre le palais
On vient lentement le sucer
Dressé si dur, qu'on sent partir
Vers le ventre des éclairs de feu
De sa main venir le pétrir
Le mordiller encore un peu
Le mamelon se fait chaleur
Comme un bébé vient à téter
On le prend en bouche quel bonheur
Entre ses lèvres à le pincer
D'une main libre aller toucher
Les abords moites du sanctuaire
Dont le nectar vient à couler
Une source chaude, une onde claire
Sentir les caresses de sa bouche
Déclenchant petit à petit
Les coulées que du doigt on touche
Et qu'on recueille avec envie
Porter à sa bouche lointaine
Cet élixir de longue vie
Que l'envie monte et me devienne
Vague envahissant mon esprit
Etaler sur la peau si douce
Le nectar précieux récolté
Comme la vanille hors de sa gousse
Dont on apprécie tant l'extrait
Ce goût sauvage sous la langue
Le musc du désir féminin
Qu'on vient extraire de la gangue
Et qui sublime encore ce sein
vendredi 5 mars 2010
Le dessous de table
Parfois à l'ombre d'une nappe
Dans les replis d'une jupette
Pendant de sensuelles agapes
Notre âme se condamne à perpette
Un simple regard nous suffit
Pour ne plus pouvoir respirer
Et si cette femme nous sourit
On se damne pour l'éternité
Une jupe ça peut tout cacher
Mais parfois ça peut laisser voir
Des replis d'une chair rosée
De l'humidité en pochoir
Sur une culotte des gouttelettes
Ont inscrit un message brûlant
Qui nous fait tournoyer la tête
Nous emplis d'un désir puissant
Si la chair est plus apparente
Les jambes légèrement entrouvertes
Les lèvres que l'on devine collantes
Exigent une intense découverte
Pouvoir plonger sans crier gare
S'agenouiller et se donner
La langue fouine et ici s'égare
Pénétrant ce lieu si douillet
Le dessous des tables est parfois
Le lieu de toutes les tentations
Il arrive qu'on ne sache pourquoi
On s'y penche avec dévotion
Parfois on rate l'occasion
D'admirer un cadeau du ciel
Et alors nous vient le frisson
D'avoir sur cette peau de miel
Raté un moment sibyllin
Un de ceux qu'on vit une fois
Et dont le reflet cristallin
Nous fait vibrer de tant de joie
A d'autres les tristes regrets
Car je ne voudrais c'est certain
Pour rien au monde pouvoir changer
Ce moment sincère et divin
mardi 2 mars 2010
Essayages
Entrainé là comme par hasard
Devant cette boutique éclairée
Je te suis presque un peu hagard
Je suis surpris, presque hébété
Tu as bien choisi ta boutique
La lingerie et pourquoi pas
Avec toi tout devient magique
Les modèles glissent entre tes doigts
Quelques pièces choisies au hasard
Mais avec toi je doute un peu
Tu m'entraines vers ce grand placard
Derrière le rideau couleur feu
Je suis gêné et je regarde
Ton sourire est si malicieux
Avant que les choses ne bardent
J'essaye de quitter ce lieu
Mais tu m'accroches par le bras
Et ton regard est explicite
Tu te tournes et viens contre moi
Je te déshabille un peu vite
Te voilà juste en sous vêtements
Ils sont d'une beauté glaciale
Sur ta peau contraste frappant
D'une transparence qui te dévoile
Un frisson me parcours l'échine
Alors que de mes doigts tremblants
J'ouvre et enlève comme une épine
Ces derniers remparts affolants
Tu es si belle ton corps à nu
Que je sens monter dans mes yeux
Les larmes d'un bonheur inconnu
De t'avoir à moi même un peu
Je te laisse essayer alors
Les tenues choisies juste avant
Et je t'indique celle que ton corps
Semble épouser si joliment
Tu reprends alors un instant
Le corps nu, offerte au regard
Le temps de venir un instant
Dans mes bras, tremblante d'espoir
Mes lèvres folles viennent embrasser
Ton cou qui palpite de ce sang
Qui te fait ce jour transcender
Je nous sais devenus amants
Recouvrant de mes mains si chaudes
Les parcelles de ta nudité
De mes doigts compose comme une ode
A ta sensuelle féminité
Puis tu remets un peu trop vite
Les habits que tu as quittés
Et c'est dans ma poche que s'invite
Les dessous qu'avant tu portais
Je rougis et comme je te suis
Nous prenons le plus bel ensemble
La suite je crois nul ne l'a vît
Mais il est sur qu'encore j'en tremble
lundi 1 mars 2010
Jouer au docteur
Jouer au docteur c'est très amusant
Mais je vous en prie dit-il poliment
Déshabillez-vous sous ce paravent
Et près de la table où je vous attends
Alors dites moi quels sont les symptômes
Vous êtes tombée je crois dans les pommes
Laissez-moi juger si vous êtes en forme
Parfois il suffit juste d'un petit somme
Je vois que vos seins ont la fermeté
D'une femme qui prend garde à cette beauté
C'est médical laissez moi les toucher
Et voir si les pointes vont se redresser
Parfaite réaction, de votre poitrine
Votre souffle trahit et je le devine
Un certain émoi seriez-vous coquine
Je vois à vos yeux votre humeur câline
Allongez vous là, écartez vos jambes
Vos gestes sont sur je vous sens ingambe
Je monte sur vous et je vous enjambe
L'impression me prend que quelque chose flambe
Ne voyez-vous pas monter la chaleur
Le rouge se répand autour de la fleur
Je dois y plonger toute mon ardeur
Et cet instrument sera le sauveur
Le massage se doit d'être pratiqué
En un rythme lent parfois saccadé
Sentez-vous madame l'émotion monter
Cet art ancestral devrait vous soigner
Il faut par moment que je vous embrasse
Et à d'autres aussi que je vous enlace
La chaleur du corps permet que se passe
Avec plus de force le feu dans la glace
Le souffle haletant je vous sens sombrer
Vers la guérison vous vous dirigez
A genoux peut être pour mieux respirer
Vous devez je crois peut être vous poster
Je vois votre croupe à ma vue s'offrant
Vos seins qui ballotent sous les coups puissants
Ne redoutons pas ces médicaments
Qui sont sans douter les plus captivants
Voilà-je le sens, je vois qu'il est l'heure
De ce cri puissant et libérateur
Et ce traitement à base de bonheur
Nous démontre ainsi toute sa valeur
Dans le creux des reins
Dans le creux de tes reins
Je voudrais bien me perdre
M'y plonger à dessein
Y attendre tes ordres
De mes mains baladeuses
Saisir ces deux collines
Et sur la peau soyeuse
Si sensible et si fine
Prendre l'initiative
De me plonger en toi
Que plus rien ne me prive
Ni ma langue ni mes doigts
De venir me poser
Sur l'intime de ton corps
Que je voudrais baiser
De ma bouche si fort
Les fesses bien écartées
Ma bouche vagabonde
Sur le trou étoilé
Quand les frissons abondent
En forcer le passage
Avec obstination
Ma langue est le message
De cette tentation
Et alors qu'elle témoigne
De mon désir sauvage
Ces fesses que j'empoigne
Sont aussi le présage
Que je pourrais glisser
Si tu te penches un peu
Sur tes lèvres écartées
Au velouté soyeux
Y entrer en douceur
En recueillir le jus
Qui ferait mon bonheur
Rien ne me plairait plus
Et venir aspirer
Avec application
Le clitoris serré
Par ton appréhension
De t'entendre gémir
Serait pour moi unique
Te voir mouiller, jouir
Un plaisir mirifique
Et revenir après,
Te caresser les fesses
Et poser des baisers
Remplis de ma tendresse
jeudi 25 février 2010
Vision fugace
Derrière la vitre du salon
Semblant attendre son retour
Elle laisse échapper un frisson
Sur sa peau nue dont les contours
Se devinent sans difficulté
Malgré le rideau devant elle
Sur la vitre elle s'est appuyée
Son corps dénudé si sensuel
Impossible de deviner
Qui elle attend ainsi vêtue
On ne peut que l'imaginer
Surement que d'elle il est connu
Troublant son corps au plus haut point
De ses mains elle se caresse
Remontant du ventre à ses seins
Descendant sur l'arc des fesses
Elle offre au regard du voyeur
Son corps de femme si impudique
Celui qui voit sent la chaleur
De vivre ce moment unique
Cherchant à cacher son émoi
Alors qu'elle se donne à l'envie
Brisant les tabous et les lois
Devenue étincelle de vie
Deux mains qui se posent sur ses hanches
Il était là comme attendant
Que de son rythme elle se déhanche
Et trouble un homme la regardant
Se serrant contre elle peut sentir
Le désir qu'il a pour son corps
Son corps se tend de trop frémir
Elle se tourne et donne son accord
Il vient à la déshabiller
Le peu qu'il reste s'évapore
L'entrainant dans la maisonnée
Le voyeur coupé dans l'effort
Tristement se sent dépité
Quel terrible plaisir il a pris
La prochaine fois c'est décidé
Il repassera par ici
mercredi 24 février 2010
Dans le triangle
A la croisée des mondes
A la croisée des formes
Si j'entre dans la ronde
A l'heure ou les gens dorment
Je regarde en silence
Peut être un peu gêné
Mais aucune défiance
Je suis emprisonné
Le silence de l'instant
Devant ce beau triangle
Un silence innocent
Au milieu de cet angle
Une vision si douce
Comme un trait de velours
Que je voudrais du pouce
Dessiner en contours
Je me suis assoupi
Dans un recoin si chaud
Mon âme est un abri
Et ce cadeau si beau
Et plus je la contemple
Plus mes yeux sont troublés
Apercevant le temple
De toutes les voluptés
Ma bouche se méprend
Elle ne se rend pas compte
Que le plaisir violent
Qui en moi vient et monte
N'est que pour une image
Une illusion réelle
Je dois rester bien sage
Je dois l'être pour celle
Qui ce jour m'a offert
Ce qui est à mes yeux
Le nœud qui nous enserre
Et nous rendra heureux
Elle était éphémère
Elle était illusion
Dans sa prison de chair
Elle est palpitation
Et je suis à genoux
Priant pour qu'elle me laisse
Avoir des gestes doux
Des gestes de tendresse
La regardant un peu
La désirant beaucoup
Lui offrant dans mes yeux
Mes désirs les plus fous
Sentir l'émoi
Envie de s'emparer de ce corps en émoi
De venir écarter de la langue et des doigts
Cette fente malicieuse qu'on imagine humide
De cette femme ouverte qui n'est pas si timide
L'orchidée se dévoile dans son intimité
Et le désir charnel vient me faire espérer
Que mon membre tendu vers ces lèvres rosées
Pourrait si elle le veut les faire s'écarter
D'un doigt léger venir écarter lentement
L'étoile de son trou offert si joliment
Dans une position si elle le voulait
A la fois comme offerte et comme maitrisée
Se laisser emporter vers un émoi certain
La force des envies n'acceptant aucun frein
De la bouche ambitieuse vouloir contre ce corps
En explorer les formes et les moindres trésors
S'insinuer en elle, par devant par derrière
Répondre à ses demandes, écouter ses prières
Et l'entendre gémir, la voir se tortiller
Quand les vagues puissantes viennent à l'emporter
Je peux sentir les mots couler comme le suc
Et en moi mon désir aussi blanc que le stuc
Qui semble dévaler traversant mon envie
Pour venir s'étoiler sur ce corps alangui
mardi 23 février 2010
Plaisirs des lèvres
Envie de sentir en moi l'abandon
Abandon du corps et de la raison
Sous des mains pouvoir me découvrir homme
Des plaisirs en faire aujourd'hui la somme
Que contre mon corps elle vienne poser
Des baisers brûlants et pourtant légers
Que je sente monter en moi la pression
Sentir se mêler de violents frissons
A cette caresse de sa découverte
Me laisser toucher, et si elle est prête
Qu'elle me dénude rien que pour ses yeux
Sentant sous ma peau palpiter le feu
Que du bout des doigts elle vienne enserrer
Les courbes audacieuses d'une virilité
Qui pour elle déjà se dresse si fort
Ses baisers sur moi ont tendus mon corps
Caressant un peu, découvrant beaucoup
Elle vient devant moi se mettre à genoux
Regarde mes yeux alors que ses lèvres
Sur le bout du gland me mettent la fièvre
Et dans un élan elle vient engloutir
Quand sa gorge vibre je la sens gémir
Je suis je le sais bien à sa merci
De moi elle peut faire ce que ne puis
Avec elle j'ai su oublier pourquoi
Je n'ai jamais su me laisser comme ça
Et je sens monter un plaisir puissant
Je veux qu'elle se lève et que dans l'instant
De sa bouche chaude elle vienne m'embrasser
Et que nos deux langues viennent s'emmêler
Ressentir le goût de ce fort désir
Que mon corps pour elle n'a pu retenir
lundi 22 février 2010
Un dos nu
Il est des visions qui donnent l'émoi
Lorsque la peau nue semble découvrir
Des morceaux d'un corps que du bout des doigts
On voudrait pouvoir ressentir frémir
Un dos nu c'est comme une page blanche
Sur laquelle on voudrait pouvoir écrire
C'est un endroit chaud ou le corps s'épanche
La tête posée on peut s'endormir
Un dos qu'on dénude c'est encore plus doux
Quand du bout des doigts sur la lingerie
Qui sur cette peau marie avec goût
Les désirs sauvages et les douces envies
Un dos qu'on caresse une fois allongée
Le corps détendu de la femme qu'on touche
Quand avec tendresse on vient à masser
Effleurant la peau comme pommeau de douche
Et puis sur ce dos du bout de ses lèvres
Avec des désirs qui viennent du cœur
Se faire pressant ne pas être mièvre
Transmettre à la peau toute la chaleur
Comme un doux rayon de soleil d'été
Embrasser la peau au velours de pèche
Et sentir le goût tellement fruité
D'une femme sucrée que la langue lèche
Les mains descendant dans le creux des reins
Terre d'aventure et d'exploration
Qu'on vient réchauffer lorsque de ses mains
En caresses folles pleines de passion
On se laisser aller à descendre encore
Venant découvrir la rondeur des fesses
Que du bout des lèvres lentement décore
De tendres baisers et douces caresses
Visitant un peu du bout de son doigt
Le sillon qui vient marquer d'un sourire
La séparation des monts de l'émoi
Plonger en douceur mais avec plaisir
Et dans ce vallon d'une bouche avide
Chercher les parfums d'un corps qui palpite
Approchant les lèvres que la langue déride
Plonger en gourmand peut être un peu vite
L'émotion qui vrille le cœur qui s'agite
Le désir d'encore goûter sur la peau
Remonter le dos ne pas aller vite
Caresser encore et avoir si chaud
Se coller un peu et sentir sous soi
La chaleur si douce de ce corps offert
Et sous la poitrine faire glisser les doigts
Caresses légères réponse aux prières
L'orchidée
Orchidée se dévoile cachée au creux des reins
La courbe de ses hanches, le galbe de ses seins
Elle se laisse approcher du bout de l'objectif
Avec pour seul désir, de rendre suggestif
Dans ses poses lascives, des envies de plaisir
Et le souffle divin, de ses tendres soupirs
Sous le regard complice de celui qui la fait
S'épanouir ainsi sur chacun des portraits
Dans l'écrin du tissu, et sous la lingerie
Le corps de cette femme est un ode à la vie
Sur sa peau la morsure de l'encre a laissée
Des dessins qui s'affichent dans toute leur beauté
On en viendrait c'est sur, à désirer ce corps
Vouloir dans un élan lui faire rompre le sort
De n'être qu'une photo magnifique et subtile
Devenir en réel un plaisir érectile
Et venir se lover dans le creux de ses reins
Sur ses hanches accueillantes, y déposer les mains
De la bouche qui frémis, dans le sillon précieux
Glisser tout en douceur, vers le plus chaud des lieux
Y insérer sa langue pour en goûter peut être
Le nectar d’une femme qui se laisse apparaitre
Serait-elle vénéneuse ou bien juste sucrée
Comme la vanille si douce dont elle est dérivée
L'orchidée est alors la plus belle des fleurs
Celle que l'on voudrait bien serrer contre son cœur
Merci de ces clichés, de cette inspiration
Merci de m'avoir fait ressentir ces frissons
Lorsque j'explorais là ce corps ainsi offert
De mes mots je pouvais vibrer et de le faire
M'a donné ce matin l'envie de caresser
Un corps tellement beau, celui d'une orchidée...
Croupe offerte
Une croupe bien dressée
Offrant une vue parfaite
Sur le petit trou serré
Et les lèvres entrouvertes
Ca peut être poétique
Il suffit de le vouloir
Car l'envie de l'esthétique
Se situe dans le regard
Quand on regarde un instant
Un corps offert aux caresses
On peut y voir c'est troublant
Le sillon entre les fesses
L'envie peut monter alors
De s'approcher en douceur
Déposer sur ce trésor
Des baisers tout en chaleur
Glisser lentement un peu
Venir écarter les lèvres
Sur le clitoris soyeux
Tenter d'insuffler la fièvre
Avec des caresses subtiles
Faire ouvrir le sanctuaire
Bien sur ça n'est pas facile
Que ne ferait-on pour plaire
Faire pénétrer en douceur
Quelques doigts dans cette fente
Alors que comble de bonheur
Dans l'autre trou la langue rentre
Forçant un peu le passage
D'une humeur très très coquine
Ne plus voir dans ces images
Que des caresses mutines
Et puis se sentir troublé
Par la pointe de ses seins
Qu'on voudrait pouvoir sucer
Et caresser de ses mains
Pourquoi osez-vous penser
Que des photos explicites
Ne pourraient faire rêver
La poésie c'est magique
Coulées du désir
Je suis un tentateur aux multiples facettes
Mon désir est si fort qu'au travers de mes mots
Je voudrais bien qu'en toi chute la bobinette
Et que s'ouvre la porte sur ton émoi si chaud
Lentement en douceur, les vagues de chaleur
Quand j'évoque cet homme en caresses légères
Viennent dans ton bas ventre palpiter comme un cœur
De ces jeux de la langue qui pourraient bien te plaire
Les images que pour toi, je voudrais explicites
De cet homme dont la langue vient écarter les lèvres
Ne plus perdre du temps le but et d'aller vite
Pour qu'en ton corps de femme se déclare la fièvre
Alors je peux sentir, les papillons multiples
Qui semblent pétiller comme bulles de champagnes
Le frisson qui parcours et qui dans son périple
Fait trembler tout ton être avec une telle hargne
Je peux imaginer, que la chaleur montant
Tu sentes entre tes jambes s'en venir la moiteur
De tes lèvres rosées, dont le sang les gonflant
Vont lentement s'ouvrir mouvement séducteur
La rosée de l'essence de ta féminité
En petites perles fines se pressant à l'entrée
Sens-tu comme mes mots en toi ont pénétrés
Comme des doigts d'amant cherchant à te fouiller
Ne croise pas les jambes tu sais bien qu'au final
Plus frissonnante encore tu seras après ça
Je veux te faire du bien mais pas te faire de mal
Laisse mes mots dans ton corps venir donner le la
Je veux sentir la gêne s'emparer de ton être
Alors que dans les yeux tu regardes tes amis
Repensant à ces mots habitant tout ton être
Revenant n'importe quand pour peupler ton esprit
Que tu mange au restau que tu danses en soirée
Que tu sois même en train de faire les magasins
Les mots viennent tout d'un coup d'un détail te heurter
Et voilà qu'un éclair, traverse ton bassin
Je veux que chaque soir, en quittant ta tenue
Tu puisses constater que je t'ai habité
Et te regardant dans le miroir toute nue
Tu sois pris du désir, d'enfin te caresser
Repensant aux effluves, des parfums épicés
Que je mets sur ta route, avec tant de passion
Sur ton clito brûlant que tu viens à pincer
Pour envahir ton être d'une toute autre émotion
Je veux que tu te sentes tellement pénétrée
Comme si mes mots étaient ce sexe que j'érige
Venant entre tes lèvres pour pouvoir honorer
La femme si harmonieuse, la Venus callipyge
Usant de mon esprit, comme je le ferais
De mon vit qui pour toi vibre avec tant d'ardeur
Je veux que tout ton corps se sente comme habité
Et qu'à chaque seconde s'installe la moiteur
Comme préparant ainsi, l'instant où je pourrais
Honorer des mes lèvres, te fente bien humide
Et que je serais là pour toi agenouillé
Habité de l'envie, de ne plus être timide
Feuille de rose (2)
Elle est comme alanguie sur ce grand lit défait
L'éclairage est si doux la lumière tamisée
Et comme je la regarde dans cette position
Mon sang ne fait qu'un tour, et je sens un frisson
Les fesses relevées, offrant à mon regard
Toute l'intimité, sans artifice ni fard
Je sens monter en moi l'envie de la toucher
M'approchant lentement la faire sursauter
En circonvolutions de ma bouche brûlante
Je viens lécher sa peau qui est si palpitante
Elle laisse les soupirs meubler tout le silence
Que mes baisers ne rompent que par inadvertance
Et comme je remonte vers le haut de ses fesses
Léger et survolant, comme une tendre caresse
Je peux sentir vibrer l'envie de cet instant
Celui de trouver un peu plus insistant
Ma bouche vient alors recouvrir en douceur
Le petit trou charmant dont elle m'offre la primeur
Avec félicité, je le couvre de baisers
Ma salive en douceur vient à l'humidifier
Et comme je ressens qu'il frémit je recule
Si resserré j'ai peur que je ne le bouscule
Alors avec douceur, je viens le caresser
Qu'il se détende un peu et me laisse passer
De la pulpe d'un doigt, avec délicatesse
Je m'insère en douceur et dans le creux des fesses
Je viens alors offrir de ma langue tendue
Des caresses profondes, dans ce lieu inconnu
Ne point trop insister, car pour une première
Il faut savoir doser ne pas jeter la pierre
Les soupirs de plaisir semblant encore monter
Avec douceur je quitte cette félicité
Je peux sentir l'envie, je peux nourrir l'espoir
D'une prochaine caresse dont je voudrais bien croire
Qu'elle sera plus puissante et plus profonde aussi
Que son corps tout entier aimera l'interdit
Feuille de rose
Tu es à quatre pattes sur ce lit tout défait
Si belle que je m'épate de t'avoir rencontré
Ton corps est dénudé, et tu offres à ma vue
Ta douce intimité, et ton si joli cul
Voilà que je m'avance à genoux près de toi
De mes mains sur tes hanches tu écoutes ma voix
Entre mes doux baisers je susurre la tendresse
Qu'ensuite je viens poser délicates caresses
Sur ta cuisse de ma langue je trace les contours
Remontant sur ta fesse, faisant un grand détour
Puis je lèche mon doigt, et vient le déposer
Contre ce trou étroit, ce petit étoilé
Ma langue vient lécher, et mon doigt qui étale
La salive déposée autour de ton pétale
Tout d'un coup tu ressens un petit coup de langue
Tentant de pénétrer, la chaleur de la gangue
Les parois se resserrent un animal peureux
Lentement tu desserres je le vois de mes yeux
Te laissant rassurée par mes mots délicats
Tu sens sur l'orifice, la pulpe de mon doigt
Et quand tu t'abandonnes, alors complètement
Que glisse en toi en doigt je sens qu'apparemment
Ton corps devient frisson d'extase et de plaisir
Je viens lécher le trou nouvelle source de désir
Et y plonger ma langue tu la sens palpiter
Sa chaleur te fait prendre plaisir particulier
Tu la voudrais plus longue pénétrant plus au fond
Tu sens que tout ton corps attend et se morfond
Mais tu sais qu'aujourd'hui ce n'était pour l'instant
Qu'une découverte de plus, un plaisir passionnant
Tu sembles déjà attendre le jour où un peu plus
Je viendrais à te prendre pénétrant ton anus
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